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  • rencontre à la residence st Jacques

    Le 20 Février 2017 je me suis rendue pour la premiere rencontre à St Léger de la Martiniere au sein du foyer logement St Jacques. J'etais venue 15 jours avant pour presenter le projet de discussion autour des souvenirs ainsi que les differentes activités de l'association.

    Cette premiere rencontre placée sous le signe de la bonne humeur a été l'occasion de faire connaissance avec chacun des participants soit 10 pour cette premiere intervention ( certains étant malades ou en attente de visite de leur famille).

     

    Residence st jacques melle

     

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  • Evolution de l'amenagement du terrain

    Voici quelques images du terrain avec beaucoup de ronces en moins... On a developpé une certaine aversion des ronces d'ailleurs (allez savoir pourquoi )

    Bon tout n'est pas terminé mais dejà on voit au travers et on peut circuler.

    Bien sur on est toujours preneurs d'un coup de main 

     

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  • Souvenir d'autrefois

    Autrefois dans ma région, il y avait plusieurs laiteries, qui, maintenant se sont regroupées. Donc, j'ai connu ces laiteries, petites usines où se transformait le lait en beurre et en fromage. Il y avait des ouvriers pour la laiterie elle-même et aussi des laitiers qui collectaient le lait dans les fermes. Je me rappelle d'un d'eux. Il partait tôt le matin et remplissait ses gros bidons de lait de ferme en ferme, tout cela avec une charette tirée par un gros mulet gris. Son lait livré à la laiterie, il retournait avec ses bidons vides. Ce mulet étair tellement habitué à ce voyage, qu'il n'avait pas besoin d'être guidé et le conducteur en profitait pour somnoler. Lentement et sûrement, allait la bête! Elle avait l'air harassée au retour comme à l'aller, c'etait sans doute son train habituel! Puis, trois kilomètres plus loin, il y avait un bureau de tabac. Le mulet s'y arrêtait net, dans un bruit de bidons bousculés. Le conducteur tressautait et descendait chercher son paquet de gris. Après avoir discuté avec le commerçants, il retournait à son attelage. Pendant ce temps, l'animal s'était soulagé. Le véhiculerepart. Un gros coq à l'air conquéant, surement aux aguets, arrive, et en bon prince, appelle ses 3 compagnes. Cot, cott, elles arrivaient en gloussant, ébouriffées par la course pour déguster le festin. Gratte par ci, gratte par là, mais pas pour longtemps, car le buraliste avait vu la chose! Il arrive avec son seau, sa pelle et son balai. Il chasse les volailles et ramasse les crottins pour fumer son jardin. Mais demain, ce sera la même scène! J'ai tellement vu cela! Cet attelage, deux fois le même jour, passait devant la maison, le bureau de tabac étant le plus proche voisin! C'est gravé dans ma mémoire! 

  • Vieux souvenirs

    J'avais 9 ou 10 ans, et un de mes plus grands souvenirs d'enfance est celui-là:

              Il y avait dans mon village, une famille qui, pour une raison que je ne connaissais pas, a fais passer pour folle une des leurs. Ils l'ont chassée: "Maintenant, débrouille-toi!". La pauvre! Que fit-elle?  Elle logea d'abord dans une grotte pas très loin de chez elle. Cette grotte était en haut d'un coteau et en bas il y avait une source, donc on pouvais y survivre quelques temps. Elle y restera très peu car des gens bien attentionnés lui avaient prêté une maisonnette. Elle était en plein milieu des champs, faite en dur et avec une cheminée. En ce temps là, il y avait quantité de noyers, détruits plus tard par le gel, et il y avait encore des champs entourés de murs en pierres sèches. C'était sans doute une maisonnette qui datai des vignes, car autrefois il y en avait beaucoup, et qui furent détruites par le Phylloxéra. Des noms en subsistent encore: Pied des vignes, la vigne, les vignes... Donc, elle vivait ici. Elle n'était ni voleuse, ni mendiante, ni en guenilles. De quoi vivait-elle ? Eh bien, les murailles lui ont été d'un grand secours. Elle ne mangeait pas les pierres! Mais elle pouvait manger les petits gris (lumas) qui s'y logeaient. Ces petites bêtes sortaient la nuit jusqu'à la rosée du matin et il y en avait en quantité. A ce moment, il n'y avait pas de pesticides. Mais aussi elle en vendait, car il y avait un commerçant qui passait tous les mercredis avec son camion. Il achetait les oeufs, les volailles, les lapins des fermières, et aussi les escargots. Avec cet argent, elle s'achetait l'indispensable. Il y avait épiceries et boulangeries. Nous les enfants, nous avions un peu peur d'elle, bien qu'elle ne soit pas méchante. Mais quand les rares gens lui parlaient, elle ne regardeait pas les gens en face, pas par sournoiserie, mais c'est qu'elle avait l'oeil toujours vers les murs des champs. Quand j'allais au champ aux chèvres, je voyais de loin fumer sa cheminée, comme je l'ai dit, il y avait quantité de noyers, donc elle pouvais ramasser du bois mort et peut-être aussi des noix. Les gens lui donnaient des légumes. La pauvre, elle ne faisait de mal à personne. Puis je l'ai perdu de vue, ayant partie du village. Ces choses là, les parents n'en parlaient pas devant les enfants, mais moi, c'est un souvenir qui m'a marqué

  • Souvenir de Noël

    Nous sommes en Décembre et le mois se passe à préparer les fêtes de Noël. Alors les vieux souvenirs remontent. Plusieurs jours avant Noël, on allait à deux ou trois dans les bois chercher de la verdure, du houx, du lierre et de la mousse pour fabriquer la crèche à l'église aidés par des bénévoles. Puis dans la semaine de Noël , on allait voir le sapin illuminé au temple car dans les campagnes il y en avait peu. Là c'était magique car c'est aussi la fête de lumière. Puis autre chose, il y avait le Père Noël. Alors la veille on préparait les chaussures pour les mettre devant la cheminée. On allait se coucher en pensant à nos cadeaux. Souvent ce n'était pas grand-chose: un sujet en chocolat, un petit jouet et toujours une orange envelopper de papier doré. Mais une fois, j'ai eu un magnifique cadeau: une poupée. Elle n'était pas très grande. Elle logeait dans une boîte à chaussures, mais pour moi elle était belle car jusque là, je n'avais eu que des poupées de chiffon. Donc de bon matin, je me suis levée fébrilement pour voir. Une boîte était dans la chaise près du foyer et je dis comme ça: le Père Noël est venu jusque dans la maison. Mes parents devaient sourire. J'étais heureuse. Eh bien cette poupée existe encore car des mains expertes l'ont habillé de vêtements poitevins: une belle coiffe blanche, un beau jupon brodé et une longue jupe ornée de rubans de velours. Elle a bien vieilli.

  • LE TELETHON

    Dire ce que vous désirez donner (du bonheur...) à travers le calendrier dont le thème et le sourire et le rire 

    Nous travaillons pour récolter des dons pour la recherche contre la maladie et pour cela donner du bonheur. Nous avons confectionné un calendrier avec des dessins et des écrits se rapportant à chaque mois. Puis le plus rigolo, nous avons confectionné de petit bonhommes de neige. Una animatrice a eu l'idée de mettre des lunettes à un bonhommes. Cela nous a fait bien rire. De nos mains parfois tremblantes, nous avons mis tout notre coeur à ce travail. Tout cela pour vendre et faire de l'argent pour aider et faire sourire. Bonne chance petits amis.

  • Les remèdes d'autrefois

    Causerie réalisée à l'EHPAD de Melle le 28 Octobre 2016

     

    Après s'être présentes, les résidents ont émunéré plusieurs maladies et symptôme pour lequels ils intervenaient par des remèdes de leur composition: le rhume, le mla de gorge, la bronchite, les porbléme de foie, les migraines, les douleurs , es vers, la toux... en insistant sur le fait: "on appliquait ces remèdes avant de faire venir le médecin, si ça devenait trop grave!" puis la discussion a commencé. 

                La coqueluche: "on donnait du lait de jument ou de bourrique pour la coqueluche!". "Ma plus jeune soeur, on l'emmenait au logis de Saint Léger pour boire le lait de bourrique frais. Il fallait qu'il soit bien frais!" "On emmenait aussi les enfants respirer une source"'. "Chez nous, on le donnait aux enfants, ça faisait comme du sirop! ça calmait la toux! Il fallais pouvoir le boire, car c'étais trop gras. On donnait 2 cuillérées et ça coupait la toux! Il ne fallais pas savoir ce que c'était!" 

               Le mal de gorge: "On prenait des feuilles de lauriers cerise, que l'on cousait sur un linge (on faisait comme un colier) qu'on attachait autour du cou." "On chauffait les feuilles avant, pour les attendrir pour qu'elles collent autour du cou; ça faisait suer!" "On mettait aussi le bas que l'on venait de porter autour du cou!" "On faisait aussi des gargarismes avec des alcool forts, (rmagnac, cognac...) mais c'était plus pour les hommes!" "Nous, on buvait du lait tiède avec du miel". "Moi j'ai dit à mes enfants de m'en rapporter et ça m'a coupé le mal de gorge!"

              La bronchite: "On faisait des cataplasmes de moutarde: on enveloppait des graines de moutarde( que l'on trouvait en pharmacie) dans un linge fin mouillé d'eau tiède et que l'on appliquait sur la poitrine ou dans le dos ( suivant où on avait mal) et ça chauffait !" "Ils ont été remplacé par les Rigolos, qui étaient des rectangles, comme du carton, avec des graines de moutarde, et qu'il fallait tremper dans l'eau avant d'appliquer sur la peau." "On ne le faisait pas aux enfants, car ça brùlait la peau et qu'ils avaient une peau plus fines !" "On mettait aussi des ventouses: c'était des verres ronds, dans lesquels on mettait de la ouate (du coton hydrophile) et on y mettait le feu. On posait vite fais la ventouse à l'emplacement vouu dans le dos et quelques fois devant. On laissait la ventouse jusqu'à ce que la peau gonfle ou monte dans la ventouse." "Elle prenait le rond ! Et après on mettait son doigt sur le coté pour faire une prise d'air pour enlever la ventouse." "On en mettais 3 à 4 d'un coup". "Moi, j'en ai mis beaucoup. Mon père en etait trés rude! Et mon beau-père aussi!" "Moi, je le mettais dans tout le village, car tout le monde n'osait pas les poser!" "On faisait aussi des tisanes, à prendre bien chaudes!" "On y mettait le tilleul qu'on avait ramassé et mis sécher au grenier dans un panier." "On pouvais mettre du serpolet, une herbe que l'on trouvait dans les champs." "Ou de l'orge..."

              Le rhume et la sinusite: "Pour soigner le rhume et la sinusite, on faisait des fumigations: on achetais une bouteille de liquide très fort en pharmacie avec de la menthe et du thym... (il n'en fallait pas beaucoup à chaque fois)" "Ca sentais fort" "On faisait chauffer de l'eau boullante et on y ajoutait quelques gouttes de la bouteille, et on mettait ça dans un bol, recouvert d'un entonnoir ou d'un cône confectionné avec du carton, et on respirait la vapeur qui s'échapper!" "On mettait une serviette sur la tête pour empêcher la vapeur de s'échapper." "On pouvait aussi mettre du thym dans l'eau bouillante." " Ca débouchait le nez!" "On suçait aussi des pastilles au miel, des pastilles Valda des pulmolls, on en retrouve encore, mais ce ne sont plus les mêmes! Toujours imité,jamais égalé!" "On se mettait aussi des gouttes dans le nez" "On prenait aussi des grogs: il fallait de l'eau très chaude avec du rhum ou de l'eau de vie et du sucre". "C'était pas si bien avec la gnole, avec le rhum c'etait meilleur!" " Pour les enfants, on faisait du "lait de poule" on délayait du lait avec un jaune d'oeuf et on faisait chauffer un peu." " on utilisait aussi de la teinture d'iode: on en mettait quelques gouttes dans du laait et on buvait ça!" "Parfois on se frottait la poitrine avec!" " Il y avait aussi la ouate thermogène, ça faisait l'effet d'un cataplasme!" 

             La migraine: "On achetait de l'aspro de la migralgine qui était un liquide en bouteille. "On se mettait dans le noir et on attendait que ça passe!" "il n'y avait pas grand-chose à faire !" 

             La foie: "On faisait un régime sans oeufs, sans gras (comme les frites!) et sans alcool..."

             Les coliques et le mal au ventre: "On prenait des tisanes de camomilles et de tilleul pour calmer les gaz" "Il fallait de la chaleur sur le ventre, et maintenent on vous donne de la glace! Moi j'y comprend plus rien!" "Pour avoir de la chaluer sur le ventre, je me servais de la chaleur du fer éléctrique!" 

             Les vers: "On en voyait dans les selles, chez les enfants" "Les enfants qui avaient des vers, se grattaient le nez, l'anus." "On faisait une tisane." "ma mère l'appelait la sanguenite, et elle la faisait avec une plante du jardin." "On faisait aussi des compresse avec de l'ail écrasé qu'on mettait sur le nombril ou on en faisait des colliers" "Car l'ail , éloignait les vers!"

             Les douleurs: "Quand j'avais mal aux jambes, je m'enveloppais les jambes avec des feuilles de choux, et ça enlevait la douleur." "Moi je faisait chauffer des feuilles de Nappe et je faisait pareil. On appelait la plante la Nappe, mais ça devait être des feuilles de bouillon blanc." "On faisait aussi appel au rebouteux quand on avait quelque chose de démis, un pouce, cheville..." "Il remontais les nerfs avec le pouce. On le sentait quand ça passait!" "Ca ne durait pas, et après on était mieux!" "Quand c'était cassé, il le disait, et envoyait chez le docteur." "Quelquefois, il y avait des ratés! Pour mon mari, il avait fait plus de mal que de bien!"

              Les abcès: "Il y avait parfois des abcès provoqués par les rosier, les injections..." "On mettait dessus un pétale de lys blanc trempé dans l'eau de vie" "On pouvait mettre aussi une feuille de poireau dédoublée à la flamme, en appliquant l'interieur sur la plaie."

              A propos des injections, des piqures: "Elle etaient faites par des personnes du village. "Moi, ça me plaisait de les faire, j'avais tout un matériel!" "J'ai appris avec un médecin de niort, qui m'a fait voir comment il fallait faire! Et j'en ai fait! Les gens n'avaient pas le temps de se rendre compte!" "C'était moins facile que maintenant car il fallait faire bouillir tout le matériel!" "Moi,ma maman avait fait marquer au docteur où il fallait que je pique, car ma mère faisait les piqûres à tout le monde dans le village, et quand elle tombé malade, ça a été une obligation pour moi de lui faire!"

               Cors aux pieds: "On utilisait la pommade cochon, mais il fallait faire très attention car ça écorche si on fait déborder!"

               Pour nettoyer le tube digestif: "On prernait des granulés de charon, en pharmacie." "Et pour la constipation, on buvait de l'eau de vals ou des grains de vals." "On prenait aussi des fortifiants; comme de l'huile de foie de morue, de la quitonine du quinquinat..." "Maintenant, vous allez a a pharmacie et vous avez ce qu'il vous faut!" "C'était principalment nos parents qui utilisaient tout ça, c'etait moin cher!!! Et ça soulageait!" 

    Les residents présents etaient content de faire partager leur remédes et à l'evocation de ces recettes, les commentaire teintés de nostalgie allaient bon traibn. Je les remercie d'avopir échangé avec autant d'enthousiasme ces façons de faire, qu'ils ont retrouvées et puisées dans leur mémoire. Encore merci pour ce bon moment.

           

     

     

     

     

  • les preparatifs de mariage

    Les  noces : "c'était un tralala ! " Avant la guerre il y avait de grosses noces. On invitait la famille et les amis. Quelquefois, tous les artisans étaient invités". " Je me souviens d'un gros et beau mariage en 1937, ou il y avait 250 personnes !" C'était l'occasionn de rencontrer d'autres jeunes.

    Ceux qui venaient au mariage apportaient un petit quelque chose : des volailles (pas souvent des canards), des oeufs, du fromage de chèvre.... On servait souvent du poulet pas du lapin c'etait trop ordinnaire. 

    Les repas etaient composés de :

    - Hors d'oeuvre : souvent des legumes crus, melons artichats, quelque fois des asperges ( pas souvent car les asperges étaient cheres!) ou de la soupe.

    -  Poisson avec de la mayonnaise, comme des gros merlus cuits dans des poissonnieres, accompagnés d'oeufs durs et de tomates.

    - Plat en sauce : Blanquette de veau, bourguignon, langue...

    - Plat principal : poulet, canard accompagnés de légumes de saison et de haricots verts. Quelquefois il y avait du roti ou du chevreau à l'ail vert accompagné de mojhetes demi seches.

    - Fromages du Poitou confectionnés par les femmes.

    - Dessert : la piece montée, composée de choux à la crème fabriqués par la cuisienère, était le dessert des mariages. On pouvait aussi y manger des oeufs au lait et autres entremets accompagnés de tourteaux, gateaux secs et pain de savoie. Il ne fallait pas casser les blancs montés en neige ! Surtout pas de courants d'air car ils risquaient de retomber ! On se mettait à la porte du four pour incorporer les blancs en neige ! C'était fragile !

    Pour les petits repas ces gateaux etaient faits dans un "mol" avec 2 "beurleres" et 3 pieds (recipient de la grandeur d'un plat, fermé par un couvercle avec deux poignées et trois pieds), qu'on appuyait sur la braise, et dont on garnissait le dessus du couvercle avec de la braise pour faire une cuisson comme dans un four. On se servait aussi d'un "calin" (plat allongé avec un couvercle sur lequel on mettait de la braise pour faire cuire la viande.

     

    Le tout était arrosé de bon vin, du blanc, du rouge, acheté chez le marchand.

    On se demande souvent ou on mettait tout ça ! Le repas durait et durait, et on ne sortait guère de table avant 4 ou 5 heures !

    Les mariages se passaient souvent le matin ; on allait à pied à la mairie et à l'église. Il fallait faire un cortége ou chacun avait une cavaliere ou un cavalier. C'etait interessant et on rigolait ! Les voisins, les gens du village faisaient un feu de joie sur le passage du cortege. On mettait 3 fagots debout, de la paille et une pierre au pied avec la boite d'allumettes dessus. La mariée allumait le feu de joie et les chasseurs du coin tiraient des coups de fusils en l'air pour saluer les mariés; Et tout le monde buvait un coup au "baricaut" qui suivait la noce. " Je me souviens d'une mariée qui avait le feu pris dans son voile !" Un ruban installé entre deux chaises barrait quelquefois le chemin. La mariée devait le couper. Une assiette recueillait les pieces de la quete, et une autre offrait des cigarettes et des dragées.

    La noce durait trois jours : Deux jours de preparation du repas, cuisson des volailles et des tourteaux, puis la table à mettre en place sous le hangar qu'on avait nettoyé avant.

    On chantait, on dansait, on racontait des histoires, on s'amusait.

     

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